[RP dirigé par Thrareck] Les visiteurs scandinaves

[HRP : attention je suis MJ donc j'ai droit de vie ou de coma sur vous. Toute vos actions devrons être au conditionnel afin que je valide ou non ... Je vous demande de mettre vos actions en italique. vos paroles entre "" et en gras précédée par un tiret. les pensées de vos personnage seront entre ~~ je vous demande de les indiquer afin que moi, MJ, puisse agir correctement... mais attention tout personne qui utilisera les pensée d'autrui comme si il s'agissait de paroles sera sévèrement punis.
Voila... Bon Jeu ...
PS : si vous avez une question posez la moi en MP /HRP]

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La soirée était belle. Il faisait doux et la brise était légère... Le soleil se couchait sur l'horizon. Il laissait apparaître un dégradé de couleur allant de l'orange au bleu nuit. Les myriades d'étoiles commençaient a percer le fin manteau de la nuit pour illuminer la soirée.

La croisade contre le lion de Judas avait laissé de profondes cicatrices morales et physique aux membres de l'ordre teutonique. Mais celles ci commençaient à se refermer t'en bien que mal. Les blessés avaient reprit le dessus et étaient maintenant sur pieds. Les jours passaient et les membres de l'ordre reprenaient le fil de leurs activités.

Les murailles de la forteresse se fondait dans le sol. Au pied de celle-ci Otto jouait avec Azaphelle dont il avait la garde ce soir la. La chienne aimait a venir jouer avec l’autrichien. La journée s’était passé sans problème. Le gardien allait rentrer, lorsque Azaphelle montra des signe de nervosité. Elle se mit à aboyer et à montrer les crocs. Un homme venait d'apparaitre et se dirigeait vers la forteresse. Il se présenta à l'imposant gardien. Celui ci était un géant bien bâtit. Pas une once de graisse, mais des muscles saillant. L’homme avait les cheveux long blond. Il portait un pantalon de toile en lin, des guêtres en peau, par dessus des chausses en cuir, lacé par une lanière de cuir. Aucun armure sur lui juste une peau d’ours sur le dos en guise de cape. Il avait un grand bouclier circulaire en boit accrocher dans le dos et une grande hache double à la main. Bien qu’Otto était un géant, l’homme présent ici était de taille quasi identique au gardien. Il était à pied mais bien vite une petite troupe d’homme avec un chariot arriva rejoignant le géant. Tous les hommes ressemblait de près ou de loin au premier arrivé. Puis le géant s’adressa a Otto.

- "Hola, gardien, Je suis le protecteur de notre souverain… Nous avons besoin d’aide. Nous avons ici deux femmes enceinte et une autre malade. Nous ne sommes pas médecin juste des guerrier nous somme la garde de notre roi."

Ingeburge prenait le frais à l'extérieur de la Commanderie teutonique. Elle avait toujours été solitaire et régulièrement, elle ressentait le besoin quitter la frénésie des salles communes afin de s'isoler au calme. Ses pas la menaient le plus souvent vers une église et là, dissimulée dans l'obscurité de l'un des recoins de l'édifice, elle se glissait à genoux sur le sol et s'abîmait dans la prière.

Ce soir, elle avait décidé de sortir et de profiter du spectacle du soleil couchant. Elle ne se lassait jamais de voir l'astre solaire décliner, il en allait de même à chaque crépuscule mais c'était toujours différent. Et elle voyait dans cette profusion de couleurs, ce mouvement renouvelé, un miracle de la Création.


La soirée était douce malgré le petit vent frais qui soufflait. Accoudée à un petit muret non loin de la guérite, elle se tenait debout et frissonnante, les deux bras maintenant les pans de sa mante sombre contre son corps. Quelques mèches échappées de sa coiffure virevoltaient autour de sa tête.
Elle n'était pas la seule à profiter de ce moment de quiétude, elle avait pu voir Otto devant son poste, jouant avec un chien. Elle en avait souri, amusée de voir le gardien teutonique arborer un visage déridé et presqu'aimable. Pourtant, elle s'était éloignée, voulant demeurer seule et profiter encore de cet instant qui lui appartenait. Elle commençait à se sentir un peu plus rassénérée, ses forces lui revenaient elle qui avait été batuue ces temps derniers à mesure que le jour tombait. La nuit était toujours une complice pour elle, elle pouvait s'y fondre et ne pas se faire remarquer.


Les crépusculaires songeries de la Neuling furent interrompues par des aboiements. Elle se redressa et tendit l'oreille. A n'en point douter, il s'agissait du chien accompagnant Otto qui se manifestait et tandis qu'elle se faisait cette réflexion, elle perçut le bruit d'un chariot. Elle fronça les sourcils, quelque peu étonnée, même s'il n'était pas surprenant que des visiteurs se présentent à la Commanderie, le passage était régulier mais débarquer de nuit était moins habituel. En outre, les jappements lui paraissaient assez nerveux.

Intriguée, elle se glissa jusqu'au poste de le poste de garde, tâchant de se faire discrète. Et elle comprit et la raison du bruit et les cris de l'animal. Devant Otto se dressait un homme armé, à la silhouette massive et une carriole était arrêtée non loin, entourée d'hommes du même gabarit. ~ Dieu que ces hommes sont impressionnants ! ~ pensa-t-elle. Celui qui était en avant parlait mais d'où elle était, elle ne pouvait distinguer ce qu'il disait. Elle n'était pas rassurée mais en même temps, elle était aiguillonnée par la curiosité et de nature plutôt impulsive. Elle savait pertinemment que le mieux serait pour elle de rebrousser chemin.

Mais pourtant, elle n'en ferait rien, elle s'avancerait davantage et...

Le Gross Hospittler venait d'être élu Cardinal Electeur par la Curie Romaine, aussi depuis deux jours il ne faisait que parcourir les nouveaux bureaux auxquels on venait de lui donner accès à Rome. Il venait d''avoir un chien, donné par son filleul Thrareck, son propre comportement à Rome lui faisait penser à ce chiot qui marquait son territoire un petit partout où MrGroar l'emmenait dans la commanderie. Mais au moins, le Ritter respectait les lieux et ne soulevaient sa soutane à Rome que dans les latrines réservées aux hommes, et ce uniquement dans un but de soulagement urinaire.

Quoiqu'il en soit il avait décidé ce soir de rester à Thorens avec Otto à jouer aux cartes et aux dés dans le poste de garde. Il l'avait prévenu dans la matinée, les deux compères s'étaient mis d'accord pour se rejoindre au crépuscule directement dans le poste de garde et s'étaient séparés avec un regard qui en disait long sur leurs motivations. Profitant d'une accalmie dans l'après midi, Mrgroar était allé faire une petite sieste dans le poste de garde qu'il savait déserté par Otto qui était parti nettoyer le chenil. Il s'assoupit et la fin de la journée arriva très vite.

Il se réveilla en sursaut en entendant un chien grogner, entrevit l'ombre d'Otto qui semblait s'occuper du chien. Puis des bruits de montures et de voyageurs se firent entendre. Le Gross Hospittler ne parvenait pas à entendre ce qui se disait au dehors mais il comprit qu'Otto avait pris en charge les visiteurs qui attendaient devant la commanderie. Ayant entièrement confiance en les compétences du gardien, il décida de se servir une coupe de vin en attendant.

~~ J'espère que ça ne va pas être trop long, j'ai envie de me relaxer moi... ~~

Il s'étira en buvant une première longue gorgée.

Otto se tendit quand il entendit le chien grogner. Un visiteur? A cette heure? Pouvaient pas venir avant? Enfin, il allait falloir les accueillir, sinon l'Gross Hospitler allait encore râler. Le grand gardien se planta donc devant la porte afin d'attendre les nouveaux arrivants qui ne tardèrent plus. Azaphelle grognait encore, aussi le gardien lui jeta un regard sévère, la main sur le collier, l'autre non loin de son marteau. On ne savait jamais ce qui pouvait arriver.

Du calme, le chien.

Le vieux gardien de l'Ordre Teutonique étudia un moment son vis à vis pendant qu'il parlait. Il n'était visiblement pas d'ici, à voir sa carrure. Otto n'en avait vu de comme ça depuis longtemps. Peut être un Prussien, mais il ne pouvait vraiment l'affirmer et tout compte fait, n'en avait cure.

"Quel Roi?" demanda-t-il. Il ne pensait pas que le Roi de France se déplacerait jusqu'ici. Et puis il y avait des Français à la commanderie. Aucun ne ressemblait à ça. Il savait que s'il y avait vraiment des femmes enceintes, il ne devrait pas trop faire de difficultés, mais on n'était jamais trop sûr. L'affaire du Saint Crâne l'avait prouvé...

[HRP]Edition d'Otto pour les guillemets[/HRP]

Hobb se trouvait dans la cour du Château il pensait à ces derniers jours et il était fort mécontent de lui, depuis son retour de Genève rien n'avançait comme il l'aurait fallu. Certes son séminaire se passait bien, mais le reste... .
Il sortit de ses pensées quand il entendit parler de l'arrivée d'une colonne de visiteurs. Cela l'interressa et il se rendit à la porte de la commanderie :

~ Par le Très Haut qui sont ces gens?~

Sa remarque n'était pas péjorative mais vraiment fruit d'un grand étonnement.

Le Reiter comprit la situation, après une explication rapide d'Otto, mais fut surpris par l'attitude des étrangers. Ceux ci étaient sur le qui vive. Il se porta plus avant afin de bien montrer sa présence.

- "Alors nous patienterons. Mais personne ne rentrera dans votre commanderie ou alors nous rentrerons tous."

Alors que le géant viking terminait de répondre à Hobb, des cris se firent entendre depuis le chariot... visiblement une des femmes était sur le point d'accoucher... le géant revint près du Reiter.

- "Vite nous avons vraiment besoin d'aide si vous acceptez les femmes vous rentrer avec notre souverain et moi. Je vous remet ma hache en guise de bonne fois."

Il tendit sa lourde hache à Hobb en signe de bonne fois.

Hobb s'inquiétait des cris de douleurs d'une femme. Le guerrier sembla alors accépter la proposition du Reiter et lui tendit sa hache. Hobb ne bougea pas.

-"Messire, je vous remercie de votre confiance, mais laissez votre arme à l'un des vôtres, et allons vers le chariot et vous écarterez la bache afin que je vois ce qu'il y a à l'intérieur et dirigeons nous ensuite avec votre souverain vers la Commanderie".

Puis il se tourna vers la Commanderie et appela Otto.

-"Otto, was passiert denn? Warum niemand kommt für uns helfen? Ich komme mit dem König, einem Krieger und Frauen, eine wird zur Welt bringen. Wir sollen doch bedächtig sein." (1)

Puis Hobb attendit que le guerrier lui montra l'intérieur du chariot.

-"Vite l'ami il n'y a pas un instant à perdre, la vie n'attend pas. "

Hobb sourit, une naissance dans la Commanderie...

(1)-"Otto que se passe-t-il donc? Pourquoi n'y a-t-il personne pour nous aider? J'arrive avec le roi un guerrier et des femmes, l'une d'elle va accoucher. Nous devons être prudent tout de même."

Otto apella derrière lui. Il fallait faire vite. S'il était responsable d'une partie de la sécurité de la commanderie, il n'était pas assez bête pour laisser des femmes enceintes dans le froid de l'extérieur.

"Allez chercher l'Hochmeister et la Schwester Sigis...ah non, elle n'est plus là. Allez chercher l'Hochmeister et le GrossHospitler.

Le cerveau du gardien fonctionnait à toute allure. L'urgence de la situation prenait la pas sur son énervement. Il fallait faire quelque chose, et vite. Après tout, loger ces visiteurs dans l'Hostellerie ne devrait pas amener de problème. Il répondit au Reiter Hobb.

-Reiter! Sie dürfen kommen. Aber ich will die ganzen Waffen." (1)
Le gros gardien ouvrit la porte afin de laisser passer les nouveaux venus. Quand ils seraient dans les murs, désarmés, il les conduirait à l'hostellerie le temps que les personnes compétentes arrivent.

(1) -Reiter, ils peuvent venir. Mais je veux toutes les armes.

Le guerrier Scandinave avançait d'un pas rapide juste derrière son souverain au coté d'Hobb. Les autres guerriers suivirent remettant leur armes a Otto qui se demandait ou il allais pouvoir mettre cet arsenal. Azaphelle se tenait toujours près du gardien. Elle n'abboyait plus en revanche lorsque le groupe fut passer elle émit des grognements peu amicaux en direction de la vallée de Belleville.

Le géant scandinave regarda Hobb puis son regard se porta sur la forteresse ensuite sur la vallée derrière lui et répondit a Hobb

- "Ami ... ? je ne suis guère enclin a vous considéré comme tel. Je suis Le gardien de notre souverain je n'ai aucune confiance en vous je sais juste que vous êtes notre hôte seigneur c'est tout. Mais pour répondre a votre question mon nom est Siggürrd Össen. Et pour tout vous dire je crains une tentative d'assassinat sur notre souverain de la part de son frère et de ses sbires."



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[HRP]Suite du RP dans la cour du chateau ...