Enfin la commanderie

Calixte avait un long voyage, traversant tour la bourgogne et la Savoie, pour enfin parvenir à la nuit tombée devant l'imposante commanderie de l'ordre teutonique. Il n'avait emporté pour le voyage que quelques victuailles, qu'il avait vite englouti durant son périple.
Il fut donc bien soulagé d'arriver enfin à destination, alors que la faim commençait à le tenailler.
Il s'arrêta devant la barbacane et appela:

-HOLA, DU CHATEAU!!!

Il attendit un instant avant de reprendre, pensant que Otto était sûrement parti à la taverne de la commanderie:

-HOLA TAVERNIER... EUH... GARDE!!!

Le ventre grognant, il attendit encore un moment, il commençait à s'impatienter. Il est vrai que le jeune homme n'avait pas cette qualité, qu'est la patience. Il regarda en arrière quelques instant et posa son séant sur une vielle souche à coté du poste avancé.
Se redressant après quelques minutes, il reprit son appel

-HOOOOOLLLLLLLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!QUELQU'UNNNNN!!!

Le jeune homme lui sembla que quelques heures etaient passées, il faisait les cent pas qui en compté maintenant plus de cent.
Il avait senti sur lui quelques regard, sans en etre certain.
Il se demandé à présent, s'il n'avait pas fait ce chemin pour rien et commenca à croire qu'il lui faudrait faire demi tour.

Otto, sursauta :

Citation :: -HOOOOOLLLLLLLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!QUELQU'UNNNNN!!!

Le Garde la Commanderie Teutonique, enfila ses bottes, la droite d'abord, toujours la droite. Puis il se leva de sa paillasse et resserra sa ceinture. Il y glissa son poignard, sa masse d'armes, sa morgenstern.
Le quidam semblait s'impatienter. Un coup d'oeil par le judas de la grande porte. Otto siffla Le Moche, qui déjà accourait, il venait de la direction des cuisines et semblait satisfait de lui.
l'autrichien ouvrit la lourde porte et se plaça devant la personne, il fit signe à Le Moche de faire un tour dans les environs au cas où.

-" Ja, ja j'arrive."

Le visiteur faisait les cent pas.

-" Qui êtes vous et que voulez vous ?"

Otto attendait des réponses précises.

Calixte entendit un sifflement point le grincement des charnieres de la lourde porte. Le Garde du lieu le figea devant lui et d'un mouvement du bras indiqua une direction a son ... chien.
Le jeune homme suivait l'animal du regard, lorsque Otto l'interrogea de sa voix grave avec un accent sommes toutes, un peu bavarois.
Il reprit donc:

-Pax vobiscum, Je suis Calixte.Je désirerai avoir une audience avec le ritter Izidore de Castelléo.Pourriez vous lui annoncer ma venu?

Le ventre de l'homme grogna au moment ou il termina sa phrase.

-Si en même temps vous pouviez m'offrir le gite pour la nuit, voici des jours que je n'ai pu me reposer

Invité

mili qui était pas loin de la grosse porte elle avais entendu parlé 's'approchent ottot avait l aire occupé ailleurs passent son nez par la porte

bonjour messire , je suis Schwester mili_cia et vous qui este vous , il y a du monde en se moment dernier la porte , vous allez bien

Calixte occupé a regarder les pieds de l'homme face à lui entendit une voix l'interpeler.
Il sorti donc la tete de derriere Otto (rien de sexuel) et se dertourna de l'homme en s'excusant.

-Pax Vobiscum, Je vais a ravir depuis votre vision gente dame, je suis Calixte de Castelléo.J'attends qu'Otto veuille bien aller mandaer le ritter Izidore, mais...(à voix basse)
Je pense qu'il est préocupé, avez vous remarqué ses bottes? Elles sont a l'envers.
Il est cependant heureux de constater que de nombreuses personnes se presente en ce lieu.

Invité

regarde otto ha oui il et distrait on le demande beaucoup en se moment qui na pas le temps de s'habiller correctement , excusé le , alors s'est notre frère izidore que vous venez voir , je ne sais pas si otto la prévenu de votre arriver, moi je ne les pas encore croisé ritter Izidore il doit surement êtres occupé , il y a que otto qui peux vous faire rentré ou alors ritter Izidore , moi je pense pas j ai le droit ,mais je peux vous tenir compagnie le temps qui arrive sa vous fera moins long regardent l'homme du haut en bas

Pax Vobiscum Mili-cia

Ya le Ritter Izidore a été prévenu

Otto écouta la demande du nouvel arrivant

Citation :: -Si en même temps vous pouviez m'offrir le gite pour la nuit, voici des jours que je n'ai pu me reposer

Ya jeune homme le gîte et le couvert Yoooo et bien tu vas dans la petite cabane juste là a côtés des remparts tu y trouvera de quoi te restaurer et te reposer en attendant la venue du Ritter .

Otto désigna de ses gros doigts velus une petite bicoque attenant les remparts ou était disposé sur une table du pain quelques fruits et une timbale en bois emplie d'un ragout de lapin encore fumant ainsi que posé a même le sol une couche faite de paille fraichement coupé.

Invité

écoutent otto, regardent messire calixte bon vous voyez messire calixte ,ritter izidore a était prévenu, il vous reste plu qu'attendre qui vienne , et pour vous nourrir comme notre gardien otto vous as dit il y a de quoi dans , une petit maison a coté de la commanderie,

pourquoi voulait vous voir ritter izidore , messire calixte

Calixte se tourna vers Otto:

-Dank schön Otto, je vais donc me reposer de ce pas.

Puis avec un sourire vers Mili, évitant pour le moment la question de la Schwester

-Me feriez vous l'honneur de diner avec moi? Si bien entendu vous avez le temps.Vous m'aiderez à ne point me perdre en route.

( :oops: désolé trop habitué)

Invité

sourit a calixte , puits regarde otto

otto je vais resté un peu avec messire calixte, une invitation a manger je refuse jamais

sorti de la commanderie , pour rejoindre calixte

je vous suis messire , un diner a deux que de romantisme

lui sourit et prit place a une table

Calixte sourit à la Schwester et remercia encore Otto, en lui glissant au passage qu'il avait mis ces bottes a l'envers.
Il se dirigea donc vers l'endroit indiqué et prix place humant au passage le doux fumée du lapin qui mijotait doucement.

-Gente dame , je vous remercie de bien avoir voulu m'accompagner. Au diner de ce soir Lapin, je pense qu'Otto devait se le préparer avant mon arrivé, j'espère que cela ne le privera point. Nous aurions pu lui demander de venir avec nous, ne pensez vous pas?

Le jeune homme tourna la tête et vit la couche a même le sol dont lui avait parlé le gardien. Elle semblait confortable, bien que des plus rustique. Puis revenant aux beau yeux de la schwester.

-Je pense que le vin nous fera défaut pour ce premier repas ensemble, voulez vous un peu d'eau? J'ai constaté qu'il y avait un sceau à l'entrée.

Il espérait que ce ne soit pas l'eau du bain d'Otto, bien que celui-ci, ne soit visiblement pas adepte du bain.

Invité

je vous en prit messire , faut bien je m'occupe de vous le tant ritter izidore arrive on fera plu ample connaissance si vous voulez , je veux pas non plu m'imposai .

vous savez otto peu pas sortir comme ça il et de garde et un bon garde avec son chien moche

Mili santai l odeur du lapin , elle commençais avoir faim

je veux bien un verre d'eau mais , pas du seau il y a un tonneau plus propre la bas , je préfère celui là, le sort c'est pour moche quand il a soif , je ne veux pas de ses bave dans mon verre beukk

fis une grimace en y pensent , donnent son verre a calixte pour qui le remplisse

Le Ritter Izidore avait été appelé à l'entrée, un jeune homme désirait le voir.
Quand est-ce que les transmissions seraient enfin effectuées comme il faut ! Nom, prénom, âge, motif de la venue, c'était pourtant pas compliqué ...

Ralala Otto ...

Il descendit rapidement jusqu'à la cours du château et alors qu'il se rendait vers la herse il entendit deux voix s'élevant de la barbacane d'Otto, il alla voir qui cela pouvait bien être.
Il aperçut tout d'abord la schwester Mili_cia qui se trouvait face à lui avec un homme qui se trouvait de dos et dont il ne pouvait voir le visage.

Pax vobiscum ma soeur, avec qui partagez vous votre repas ?
Ce n'est pas la la tenue d'un des notre ...

Invité

mili qui attendais une voix quelle connaissait fis un sourire envoyant izidore arrive

bonjour ritter izidore , je suis avec une personne qui vous réclame Calixte de Castelléo , vous le connaissait ? je lui est tenu compagnie en vous entendent

Alors qu'il prenait le verre de mili cia, calixte entendit une voix dans son dos.
Point ne lui fut donné le temps de répondre que la schwester avait déjà prit la parole.
Ce levant avec un grand sourire, il reprit:

-Pax Vobiscum Ritter Izidore , j'espère ne point vous importuner. Ma venu en ce lieu est purement personnelle et je désirerai m'en entretenir avec vous.

Invité

mili voyait que calixte voulais discuté avec ritter izidore , se mit un peu en retraite

calixte je vais voir une amie la bas qui attend aussi pour entré , le tant vous discuté ensemble ,je suis pas loin, je vous vois tout les deux de ou je suis , je vais lui dire de venir boire quelque chose aussi on se mettra sur de coté , pour pas vous gêné

Calixte se pencha vers mili et reprit

-Je vous remercie de m'avoir accompagné, j'espere vous revoir bientot.

Puis revenant a Izidore, il tendit les bras et se dirigea vers lui:

-Père, je suis heureux de vous voir en ce lieu. j'avais peur que vous soyez retenu à Rome.Je voulais m'entretenir avec vous, si le temps vous le permet.

Il sera son Izidore dans ses bras.

Izidore accueillit comme il se devait son fils mais ne pu s'empêcher de lui faire comprendre du coin de l'œil qu'il avait comprit son manège auprès de la schwester.

Calixte ! Je suis heureux de te voir ici !
Rome me retient assez souvent pour que je puisse la quitter l'été venu alors que tout le monde cherche à s'y rendre justement, pour venir profiter de la fraicheur de Thorens, ne crois-tu pas ?

Puis surpris par sa question.

Bien sur que j'ai du temps à accorder à mon fils ! As-tu une si mauvaise image de ton vieux père ?!
Je t'invites quelque part ?

Calixte sourit aux parole de son père et reprit.

-Père l'endroit que vous choisirez sera le bon, tant qu'il est paisible. Je ne souhaite pas vous déranger voila tout. J'ai la meilleure image sur votre personne. J'ai simplement a vous entretenir de quelques chose.

Et bien allons discuter dans la tour de l'Orient.
Suis moi.

Clixte suivit son père, laissant derrier lui le lapin, et n'ayant toujours rien mangé.

-Je vous suis père.