Arrivée de Limace

A l’aube, un cavalier vêtu de blanc, de longues bottes de voyageur et d’une cape rouge arriva en ville et mit un pied à terre. Après plusieurs jours d’un voyage tourmenté, l'homme arriva enfin à destination…

Tenant son cheval par la bride, il sorti un parchemin marqué d’une croix noire sur fond blanc de sous sa cape, qu'un vieil ami lui avait donné jadis et il erra dans les ruelles de la ville jusqu'aux portes de la Commanderie, il regarda à nouveau le parchemin et reconnu l'étendard de l'ordre Teutonique.

Limace se décida alors à entrer et une fois arrivé devant le colosse qui se présenta devant lui, se sentant tout petit, il lança un fébrile:

Bonjour messire,

je me nomme Limace de Wielstadt, un ami m'a recommandé un jour de franchir ces portes, car les hommes et les femmes qui les défendent possèdent des valeurs que j'ai toujours recherché en ce monde.

L'aube venait de pointer le bout de son nez qu'une fumée odorante sortait déjà de la petite cheminée du poste de Garde de la Commanderie générale de l'Ordre Teutonique. Deux poissons étaient entrain de rôtir tout doucement, tandit qu'une masse de muscle dont on ne voyait pas la tête de l'extérieur du poste, la porte étant bien plus basse que le sommet de son crâne, se servait un verre de lait ...

A peine s'était-il assis, les pieds croisés sur la table, qu'une voix s'éleva de derrière les grilles de Thorens.

Citation :

Bonjour messire,

je me nomme Limace de Wielstadt, un ami m'a recommandé un jour de franchir ces portes, car les hommes et les femmes qui les défendent possèdent des valeurs que j'ai toujours recherché en ce monde.

Otto se leva d'un bond, furieux d'avoir était dérangé pendant son petit déjeuné.



Qui va là ! Wielstadt ? Me dis rien ça ... Et Limace, c'est pas un nom ! Tout au plus un sobriquet !



Un ami vous a recommandé de franchir ses portes parce que vous défendez les même valeurs que ce Grand Ordre ?
Vous êtes bien prétentieux pour oser prétendre cela ... J's'rais curieux d'savoir qui qu'c'est votre ami moi !

Oui, excusez moi, je ne voulais pas vous déranger et encore moins vous rendre furieux !

Voyez vous, ce ne sont que les valeurs que je recherche, car je ne saurai les défendre seul, c'est justement la raison pour laquelle je me présente à vous...

L'homme qui m'en a parlé se nomme Izidore, c'est un ami que j'ai connu à Cahors il y a bien longtemps déjà, je ne sais pas si vous le connaissez, vous semblez si nombreux, j'ai eu l'honneur de combattre à ses cotés durant la reprise de notre ville des mains de brigands et depuis cette époque il me parle souvent de l'Ordre Teutonique, m'a expliqué sur les grandes lignes ses rouages et ses valeurs et après mûre reflexion, je caresse l'espoir de pouvoir les défendre moi aussi un jour.

L'homme hésita un instant...

Oui, en effet, Izidore... le Capitaine Izidore de Castelléo...

Limace tendit à Otto une épée, un bouclier ainsi qu'un petit couteau glissé au fond de sa botte.

Me voilà désarmé messire.

Limace avança vers la porte et tourna la tete vers le ciel pour tenter de voir le gaillard qu'il venait de rencontrer et lui fait un sourrire discret.

Je dois voir le Wärter Hobb, c'est bien celà ?

Le voyageur, hésitant, tourna la tête dans toutes les directions...

Euh... je vais vous déranger encore un peu, mais par où dois-je aller ?

Le gardien Autrichien se retourna, en effet il lui fallait fournir les derniers renseignements. Puis encombré de l'armement du visiteur il précisa :

-" Huummm! Je vais voir les membres du Chapitre, pour voir ce qu'ils vont faire de vous. Si c'est favorable vous serez dirigé vers le salon des Bewerbers (postulants) . Là vous y rencontrerez le Wärter der Heiligen Reliquien (gardien de la Sainte Relique) Hobb Siegfried VonKorwald il prendra en main votre intégration éventuelle."

[Hrp]Pour accéder au salon, attendez que le lien "salon des Bewerber (postulants)" soit actif, puis dans le salon ouvrez un nouveau sujet à l'instar des postulants déjà présents en vous présentant (RP) et susciter l'intérêt pour que l'on vous réponde [/Hrp].

Limace attendit un instant puis rejoignit le salon, saluant l'immense gardien qui venait de lui ouvrir la porte.

Je vous remercie de votre diligence Messire Otto, j'y vais de ce pas.