Retour du Ritter Malvil

Le Ritter Malvil avait essayé de vaincre l'ennui par un voyage hors des sentiers battus de l'Ordre mais son coeur demeurait en permanence envahi par la vision de Thorens et de ses frères. Il revint donc là où tout avait commencé et se représenta à la grille du chateau.

Ohé du château, je suis le Ritter Malvil, vous pouvez prévenir qui de droit de mon retour?

La rousse se promenait pour calmer ses nerfs, ca faisait un moment
que tout bouillait à l'"intérieur. Elle était en colère contre le
Hochmeister qui brillait par son absence, elle était vraiment
dégouttée et avait une envie folle de tout laisser et partir loin
de Thorens.


Elle se promenait près de l'entrée lorsqu'elle entendit une voix qu'elle
aurait reconnu entre mille ... C'est en courant qu'elle arriva à la grille


FREEEEEEEEEEEEEEEEEREEEEE MALVILLLLLLLLLLLLLLLL oh comme je suis
heureuse de vous revoir, vous n'imaginez même pas le bonheur que j'ai de
vous revoir à Thorens.

Elle fit signe qu'on ouvre la grille et qu'on s'occupe de cheval du ritter...puis
sourit au ritter, elle était tellement contente qu'elle lui aurait sauté au cou...


(HRP : je suis désolée jd Malvil , je ne sais donnerles accès que pour les neulings
pour le reste c'est Jd Charles Antoines et il est aux abonnés absents depuis un bon
moment)

Le Ritter vit une silouhette arriver vers lui en courant avant même qu'il puisse la reconnaître......

Houlaaaaa, qu'est ce que...... Le colosse prit un peu de recul et reconnu immédiatement la soeur Lanaelle. Il ne pouvait que s'agir d'elle pour donner au Ritter un tel accueil.

Ma soeur, voyons retiens toi.....on pourrait nous voir! Je suis heureux de te revoir, la vie à l'extérieur n'est point ce que j'imaginais et puis, je suis teutonique dans l'âme et ma place est icilieu.....c'est mon destin et c'est ce qui plait au Très Haut. Donc, je suis revenu et je ne pense plus m'en aller un jour, je me sens bien ici......très bien même. Le fait de me changer les idées et parcourir d'autres cieux m'a fait du bien mais juste un instant, il fallait que je revienne