Arrivée de Cudot

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Le Baron n'avait pas hésité une seconde lorsque les harpies avaient destitué le Duc légitime du trône de Bourgogne. Il avait toujours combattu l'injustice et il continuerait à le faire. En plus combattre, il aimait ca. Il se présenta dans chez les teutoniques.

Faites savoir que le Baron de Cudot est là pour répondre à l'invitation de Istar.333 de Demessy, Comtesse de Camboulas et Ordensmarschall de l'Ordre.

Hagden se gelait léger, même dans sa cellule. L'hiver était rude. Pour se réchauffer, il sortit. Le froid dehors était aussi là. Mais au moins il se dégourdit les jambes un peu, les jambes qui commençaient à s'engourdir de par ce froid et l'inactivité. D'ailleurs, la Commanderie semblait déserte, désertée. Tous devaient rester à la Taverne, quelque part au chaud devant un brasero.

Le Ritter s'avança jusqu'aux Portes de la Commanderie, espérant y trouver Otto. Et surtout y trouver un peu de sa gnôle autrichienne. D'habitude il n'y prêtait guère attention, à cette gnôle, mais le froid glacial de ce jour pouvait faire office d'exception.

Otto lui-même avait deserté le coin des Portes. Mais le Ritter remarqua un autre homme, impatient... visiblement.

Le Chevalier se râcla la gorge et lança du haut des remparts :

Ohé ! Bienvenu à Thorens. Quel bon vent vous amène ? Un vent du sud ? On aurait bien besoin d'un petit vent du sud dans le coin... Ne bougez pas, je vais voir si notre Gardien est là que je lui bouge les fesses, ou si je trouve les clés.

Et il disparut...

Nombre de messages : 7 Localisation RR : Bourgogne

Alors que le Cudot allait faire demi tour avec sa troupe, quelqu'un l'interpella du haut des remparts. C'est pas tant qu'on lui réponde de bien haut qui le gênait mais, lui Baron de Bourgogne et invité par un Ordensmarschall et laissé là comme un moins que rien, il y avait des limites.
D'un sigtne main, toute la troupe fit demi tour et s'éloigna de la commanderie.

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Svana sortant le nez de sa fauconnerie tourna la tête par des bruits alerté.
Elle voyait son parinou adoré courir autour de la guérite de garde.

Elle entendit aussi des cataclop s’éloignant.
Ni une ni deux elle prit son cheval sortie de la caserne et vit une troupe partir.

Ils étaient pas venus pour rien se dit elle, la voila qui lance son cheval au galop pour rattraper la troupe.

Elle voit une tête connu, mais ou ? au baptême de Téo, voila ou c’était.

Pax vobiscum Messire,

SI vous le permettez et le voulez bien faite demi tour je resterais a vos cotés pour vous tenir compagnie.
L'attente peut être longue à la porte elle n'est pas encore Otto matic , je sais c'est moche mais il en va de la sécurité de tous

Elle lui sourit d son plus beau sourire et attendit sa réponse.

Le gras du bide sortir haletant par les Portes. Il venait de se prendre une rouste verbale par le Ritter Hagden. Il avait déserté son poste parce qu'il devait écrire à sa tante autrichienne Gertrud, comme il le faisait tous les ans à la même époque. Du coup, il était entrer chercher de l'aide auprès d'un Teutonique, qu'il n'avait pas trouvé, et donc il était allé vers la Bibliothèque, où il ne mettait jamais les pieds. Et il s'était paumé dans les rayonnages. Il n'était pas habitué à cotoyer les livres et encore moins des rayonnages entiers de livres. Aussi, avait-il hurler à qui l'entendrait qu'il était "verloren !" (perdu). Et le Ritter l'avait entendu brailler. Et il l'avait sérieusement sermonné, après la première surprise qu'il eut de le voir en pareil lui. Ca faisait un peu "dépareillé", "surréaliste", de voir le gras du bide qu'il était au pays des livres reliés.

Haletant donc, il rattrapa l'homme qui attendait depuis un moment.

Herr ! Herr ! (monsieur ! monsieur !). cria t-il en courant sur ses jambonneaux courtauds.

Refenez donc, je fous donne les accès. Feuillez me pardonnez, une affaire de famille urgente à règler. Je Fais aller me repentir dans ma cellule. Ach ! Chamais je ne recommencerai, che ne suis pas fait pour courir deux "meters" , alors dix ou vingt "meters"...(mètres)

Il posa ses mains sur ses genoux, le temps de reprendre son souffle. Espérant que l'homme ne s'éloigne plus. Sinon il l'assommerait. Il détestait courir, et encore moins pour rien.

Nombre de messages : 153 Localisation RR : Thiers

Elle sourit en voyant Otto courir au loin en criant mais on ne comprenait rien, on était trop loin.

Vous voyez messire quand je vous dis que je suis magique , Vous m'accompagnez jusqu’à la forteresse ? J'ai tellement travaillée a la fauconnerie, je me si faible, je ne sais si je tiendrais a cheval jusqu’à la bas. .

Vous n'allez pas laisser une jeune fille en détresse n'est ce pas ? Sad

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D'un coup plusieures personne apparurent pour retenir Wolfar qui voulait déjà reprendre le chemin de chez lui. Il fut persuadé puis fit demi tour.

Bien montrez moi donc le chemin alors, je vous suis.

Citation :: voila ce que j'ai quand je suis le lien: Désolé, mais seuls les utilisateurs avec un accès spécial peuvent lire des sujets dans ce forum.

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Svana sourit contente, ouf je ne sais pas qui il allait voir mais la personne sera heureuse d'avoir son invité.

Allons y messire, mon cheval a coté du votre, comme cela si j'ai une faiblesse vous pourez me retenir
Je suis si heureuse que vous veniez en notre si jolie forteresse.
Puis je vous demander que nous vaut l'honneur de cette visite?

Nombre de messages : 7 Localisation RR : Bourgogne

Plaçant alors son destrier au coté de celui de Svana et adapta sa vitesse à la sienne.

Je n'ai pas saisi votre nom madame. Je suis le Baron de Cudot et je suis ici à l'invitation de l'Ordensmarschall Istar dans l'armée de laquelle je me trouve depuis le début des troubles en Bourgogne.

Invité

Istar déteste être en retard ou faire attendre les gens. Elle se prépare à la vitesse de l'éclaire et se rend à la porte. Les regarde s'avancer et attend qu'ils soient juste devant elle pour les saluer.

"Pax Vobiscum et Bienvenue à la Commanderie de Thorens Baron. Merci soeur Svana.

Vous pouvez laisser votre cheval au palfrenier et me suivre jusqu'à la salle d'échange Baron. Vos idées seront les bienvenues."

Lui enjoins de le suivre

"Par ICI s'il vous plait."

Remerci Soeur Svana d'un signe de tête et accompagne le Baron de Cudot.

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Wolfar reconnut de loin l'Ordensmarschall qu'il avait croisé au campement teutonique lors du siège de Dijon. Il la salua et remercia la dame qui l'avait escorté jusque dans la commanderie.

Je vous suis.

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