[A l'Herboristerie] Arrivée d'une inconnue (Maelle-fey)

Dernière édition par Hellvyra le Mer Jan 30 2013, 09:18, édité 1 fois

On installa la femme dans un lit. Les neuling repartirent en cuisine pour ramener une assiette de fruits, du pain et des morceaux de fromage.
On plaça l'appétissant plateau près du lit de la malade avec un cruchon d'eau. Hellvyra tira ensuite le rideau coulissant autour du lit et commença à déshabiller la jeune femme. La pauvre n'avait que la peau sur les os. La médicastre avec l'aide d'une aide soignante tenta de la nettoyer un peu, elle en profita ainsi de vérifier que l'inconsciente n'avait pas de blessures apparentes. Elle lui enfila ensuite une robe de lin blanche.

Le plus difficile pour les médicastres c'était entre autre, de savoir ou se trouvait le mal surtout quand le patient arrivait inconscient. On ne pouvait qu'attendre le réveil ne fut-ce que furtif, le moment de savoir où était cette douleur ou de pouvoir lui faire ingurgiter une potion essentielle à sa guérison. Hellvyra resta là près de la femme, attendant ne fut-ce qu'un battement de cil.

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Le Ritter Hobb en tant que Landmeister de la Commanderie de Thorens se rendit à l'herboristerie pour prendre des nouvelles de la personne qui y fut transportée.
Il constata que le rideau autour du lit était fermé. Il se doutait que son épousée Hellvyra oeuvrait.

-" Bonjour ma mie, comment va la malade ? Si vous avez besoin de quelque chose faites le moi savoir. Je serai dans mon bureau ou au cours d'armement du Bruder Theudbald."

La voix si chère à son coeur était là. Elle avait finit d'habiller la jeune femme et l'avait recouverte de drap chaud. Elle ouvrit donc le rideau et sourit à son époux.

_Bonjour mon ange. Oui j'ai trouvé cette malheureuse dans la neige en face de notre portail vêtue de haillons. Je ne sais qui elle peut être mais son état m'empêchait de suivre le protocole de sécurité et de la faire attendre dans la pièce des Neuling. Elle respire normalement mais est toujours inconsciente, ce qui m'empêche de faire mon travail correctement. Je vois qu'elle souffre de malnutrition à l'oeil mais souffre-t-elle d'autre chose? là est mon dilemme.

Elle laissa le passage à son époux pour qu'il puisse voir la jeune femme alitée.

_Avez-vous déjà vu cette femme? Est-ce que son visage vous dit quelque chose?

Pour votre dernière question, oui j'ai besoin de vous. Si vous croisez ma filleule Aorine ou bien Mammylou, vous pouvez me les envoyer. J'aurais besoin d'aide pour des tours de garde. POur l'instant, je resterai ici pour veiller sur notre patiente.

Encore merci pour tout Landmeister.

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Dernière édition par Hellvyra le Mer Jan 30 2013, 09:36, édité 1 fois

[hrp]sujet déplacé ici

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On prenait soin d’elle. Depuis combien de temps cela ne lui était-il pas arrivé ? Si sa pauvre tête avait fonctionné correctement, elle aurait peut-être pensé que la dernière fois ressemblait étrangement au présent.
Durant tout son transfert à l’herboristerie, elle avait eu le crâne traversé par des images de ces dernières années, images déformées et rendues plus angoissantes encore par le trouble émotionnel que les retrouvailles avec Thorens avait jeté sur elle.
Elle était épuisée. Elle avait tant marché depuis sa fuite pour retrouver les soldats de Dieu. Combien de temps s’était-elle traînée sur les routes poussiéreuses et infestées de voleurs pour revenir vers ceux qu’elle considérait comme les siens ? Un an ? Peut-être deux, qui pouvait savoir ? Le temps n’existait plus.
Elle avait l’impression que sa raison s’éloignait à chaque fois qu’elle essayait de mettre ses idées en ordre. Il lui fallait s’accrocher. Il le fallait. Il fallait qu’il soit là, il fallait qu’elle le retrouve. S’il était là, tout irait mieux.
Des images toujours plus nombreuses venaient obscurcir son réveil. Il fallait qu’elle les rejette, qu’elle ouvre les yeux, qu’elle leur dise qui elle était. Ils comprendraient, et alors tout irait bien.
Poussant sa si faible capacité de concentration à son paroxysme, elle ouvrit doucement un œil, puis le second et tenta de regarder autour d’elle. Des ombres, ses frères sans doute. Les reconnaîtrait-elle ?
Une femme était assise près d’elle. Son visage respirait la bienveillance. Elle la connaissait cette femme. Ou alors n’était-ce qu’un mirage ? Si seulement elle avait pu se rappeler. Sa tête, douloureuse retomba sur l’oreiller. Non… Non ! Tout redevenait flou. Il fallait le faire venir, lui il saurait. Elle aurait voulu hurler, mais seuls quelques murmures vinrent mourir sur ses lèvres.
M… Ma.. MAK !

Elle se réveillait. Hellvyra posa sa main sur le front de l'inconnue et lui dit d'un ton doux pour ne pas l'effrayer:

Chut..... vous êtes entre de bonnes mains....ne vous affolez pas, nous allons prendre soin de vous....

Mak, avait-elle murmuré.. Elle connaissait l'Hochmeister Makcimus? Un doute maintenant traversait son esprit. Et si elle le connaissait? Sans plus attendre, elle fit quérir un Frère pour aller chercher l'Hochmeister en personne.

Dites-lui qu'il est demandé à l'Herboristerie. Merci mon Frère.

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Marianne était dans sa cellule lorsqu'un messager vint lui demander de se présenter à l'herboristerie. Aussi se rendit-elle immédiatement là-bas.

- Que se passe-t-il mon amie? Le messager me disait de venir icelieu et c'est ce que j'ai fait le plus rapidement possible. Il ne m'a point dit cependant la raison de cette demande.

Puis elle baissa les yeux et vit une étrangère couche sur un des lit de l'endroit.

- Qui donc est cette jeune femme et pourquoi ce trouve-t-elle icelieu?

Marianne attendit pour avoir plus d'information avant de faire autre chose.

Invité

L'hochmeister, de sa lourde démarche entra en l'Herboristerie. Il avait l'air soucieux et il porta son regard vers les deux Schwestern.... Dominus Vobiscum mes soeurs.
Que se passe t'il?

Une des grandes dames de l'Ordre pénétra dans la salle de soins. Hellvyra sourit à son amie, qui était toujours dévouée envers les autres.

_Merci d'avoir répondu aussi vite à mon appel mon amie.

En fait, nous ne savons pas encore qui elle est. Je l'ai trouvé inconsciente dans la neige en face de notre portail. Elle n'a que la peau sur les os. Elle doit être affamé mais dans son état, impossible encore de la faire manger. Ne reste plus qu'à attendre son réveil pour la nourrir, pour savoir si elle souffre et enfin de savoir qui elle est.

J'ai fait porter un plateau de bonnes choses à manger pour elle sur sa table de chevet.
En fait j'ai besoin de toi pour m'aider à faire la garde. Nous devons etre près d'elle dès qu'elle ouvrira les yeux. La pauvre, j'imagine sa frayeur de se réveiller dans un lieu inconnu. Tu es disponible pour m'aider?

J'en profiterai alors pour aller me nourrir un peu aussi, je réalise que je n'ai rien mangé depuis hier soir.

A ce moment, L'Hochmeister de l'Ordre entra aussi. Hellvyra lui sourit.

_Et cum spiritu tuo Hochmeister,

J'ai trouvé cette jeune femme devant notre portail, inconsciente et en haillons. Nous ne savons pas encore qui elle est mais elle a murmuré MaK avant de s'endormir de nouveau. Peut-etre que vous la connaissez?

Elle laissa passer Makcimus pour qu'il puisse voir la dame endormie.

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Hellvyra lui donna les dernières nouvelles après l,avoir remercier d'estre venu si rapidement à son appel.

- Comment aurais-je pu faire autrement mon amie. Lorsque l'on vient me quérir pour venir en aide à quelqu'un je suis toujours disponible. Tu le sais bien je crois.

Marianne lui sourit et regarda la jeune femme qui était là pâle et comme son amie venait de lui dire à peine la peau sur les os.

- Avec le froid qui sévit en ce moment ma sœur heureusement que vous n,avez point trouver qu'un cadavre. Oui réussir à la faire manger serait surement bien. Mais comment faire si elle ne reprend point connaissance? Bien entendu je vais prendre le tour de garde mon amie...

Elle ne pu point en dire plus long puisque la porte s'ouvrit et elle reconnu son frère de sang. Hellvyra le salua et lui expliqua la situation. Marianne se poussa légèrement afin qu'il puisse voir la personne qui se trouvait là. Sans doute ce serait plus facile pour l'identifier de cette manière. Elle aurait bien voulu lui dire qu,elle était bien heureuse de le revoir mais si les circonstances ne s'y prêtaient guère pour le moment aussi lui parlerait-elle un peu plus tard. pour le moment elle attendit de savoir ce qu'avait préparer Hellvyra pour la suite. Les soins à apporter étaient de son cru elle n'était là que pour exécuter ses ordres...

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Elle était retombée dans des limbes obscurs aussi brutalement que son effort avait été important.
A présent, elle ne se souvenait plus l’avoir appelé. A présent, elle était dans un cachot, la cheville entravée. Oh, pourquoi fallait-il qu’elle revienne ici, après ces longs mois d’errance passés à les retrouver, tous ? Elle qui croyait ne plus jamais avoir à vivre cela, elle qui croyait s’en être sortie ? Mon dieu, non !
Du fond de sa geôle, elle avait si souvent pensé à eux. A ses enfants, à ses frères et sœurs de sang ou de cœur. A ses frères d’arme… Qu’avaient-ils su de toute cette histoire ? Rien, sans doute. Elle était si loin que rien ne pouvait la toucher. Et pourtant, les sourires de ses frères et sœurs l’avaient bien souvent sortie d’un désespoir poisse et noir. Elle revoyait souvent le lorrain, lui plus que les autres. Il avait toujours été si important à ses yeux. Elle s’était battue pour eux, pour lui. Elle n’avait jamais baissé les bras et aujourd’hui elle était libre.

Enfin, libre… Son esprit malmené était retourné en arrière et elle se rêvait toujours prisonnière, cauchemar sans fin qui la hanterait probablement tout le reste de son existence. Ses chevilles portaient encore la trace de fers qu’elle avait gardés des années. Sur son dos, ses membres, son ventre, des traces de sévices qu’elle ne devait pas à des batailles anciennes. Le cauchemar prendrait-il fin un jour ? Les paupières de la malheureuse s’agitaient convulsivement, elle luttait encore contre un ennemi pourtant derrière elle.

Malgré tout, à ses côtés, de l’agitation régnait. Deux schwestern étaient là. Si elle n’avait pas été dans un état si pitoyable, l’auraient-elles reconnue ? Peut-être pas. Elle était déjà abîmée avant toute cette histoire, elle était maintenant si loin de ce qu’elle fut. A moins que la flamme de la foy ne brille toujours aussi intensément dans ses yeux ? Allez savoir.
Si elle avait eu toute sa tête, elle les aurait reconnues. Toutes deux toujours si bienveillantes, nulle surprise de les voir ici à son chevet. Et si ses yeux avaient été ouverts, elle aurait pu voir l’hochmeister entrer. Elle qui n’avait jamais cessé de l’aimer, se rappellerait-il des initiales gravées sur une simple croix en bois ? Cela faisait si longtemps… Et le temps passe si vite sous les latitudes de Thorens. Les vivants se succèdent dans l’Ordre, les morts restent dans leur cercueil. Ou pas.

Le trajet jusqu’à Thorens avait eu raison du peu de forces que lui avait donné sa liberté toute neuve. Elle devait se reposer, lutter contre des démons intérieurs et revenir. A LUI, à eux. Elle se battrait, de toutes ses forces.

Marianne replaçait la couverture avec douceur sur les jambes de la jeune femme lorsque son attention fut retenue par quelque chose. Elle regarda avec plus d'attention les marques et elle fit venir Hellvyra pour les lui montrer.

- Hellvyra tu peux venir un instant je voudrais que tu vois quelque chose?

Dès que celle-ci fusse près d'elle elle lui montra ce qui l'avait attirée.

- Je crois que cette jeune personne a été prisonnière pendant un bon nombre d'années à en juger par l'état de ses chevilles et ces vilaines traces. Tu as examiner le reste de son corps? Il y a a surement d'autres marques de sévices plus apparent ailleurs.

Puis elle reposa la couverture sur les pieds de la jeune femme en ce demandant si son frère de sang la reconnaîtrait. Elle mesme commençait a se dire que ce visage amaigrit et changer par le temps lui rappelait une personne qui était venue icelieu il a un petit moment déjà...

Hellvyra se pencha vers la jeune inconnue et regarda ce que son amie essaya de lui montrer.

_OUi Mammylou, j'avais remarqué ces vieilles cicatrices. La pauvre a été maltraitée pendant longtemps. Je ne sais dans quel état mental, nous la trouverons une fois qu'elle aura conscience. Tu vois, il y a 2 sortes de gens bien distincts qui ressortent de ce genre de sévices à long terme. Il y a les battants qui eux en ressortiront plus forts et les autres par contre qui resteront marqués à jamais psychologiquement. Reste à savoir de quelle catégorie notre malheureuse fait partie.
Ce qui m'importait pour l'instant c'était de savoir si elle avait des plaies ouvertes mais visiblement je n'ai rien vu. OUi il me tarde que notre patiente nous fasse signe. Je me sens impuissante pour le moment.
POur le moment, j'aimerai que quelqu'un soit près d'elle dès qu'elle reprendra conscience. Le pourquoi du tour de garde. Merci encore ma bonne amie. De ce pas, je vais me chercher quelque chose à manger. Je te ramène quelque chose?

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Marianne se doutais bien que son amie avait déjà remarque les marques comme elle faisait consciencieusement sont travail. Ce n’était que pour estre certaine qu’elle ait constate la mesme chose qu’elle.

- Je ne comprendrai jamais les personnes qui font de telles atrocités. Comment peut-on faire subir à un estre humain des choses que nous ne ferions point subir à un animal?

La jeune femme d’une grande sensibilité ne pouvait point voir de telles choses sans en estre touchée profondément.

- Oui je comprends que son état de sante psychologique soit surement atteint. Mais si elle a eu la force et le courage de se rendre jusqu’icelieu je suis certaine qu’avec l’aide que nous pourrons lui apporter et tout nostre soutien, elle pourra récupérer au fil du temps. Du moins c’est que je souhaite de tout mon cœur.

Puis lorsqu’elle lui demanda si elle voulait qu’elle lui ramène quelque chose elle répondit :

- Juste un quignon de pain et un bol de soupe cela sera suffisant pour moi. Je veillerai sur la patiente en ton absence ne craint rien ma douce amie.

Puis elle retourna au chevet de la jeune femme lui épongeant le front et elle lui prit la main en priant pour elle…

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Tout était silence, tout était noir. Une lourde porte qui s’ouvre sur un cachot aveugle. Un sourire haineux qui vient la glacer. Des cris.
De très jeunes enfants qui courent dans un cimetière. Des rires.
Une échoppe de pigeon, un soir de pleine lune. Des cris, encore des cris.
Le bruit caractéristique d’un fléau qui s’abat tout près d’elle, pour la protéger.
Une chute glacée. Une tunique arrachée.
Un serment. Une croix de bois, toujours la même.
Des images de bonheurs ou de drames qui se mêlaient aux cris de joie ou d’effroi. Tout se mêlait, s’emmêlait dans sa tête.
Elle avait retrouvé la chair de sa chair, mais il lui manquait encore des essentiels. Sa foy était toujours aussi vaillante, mais en quoi pourrait-elle croire s’il ne restait plus aucun d’eux ? Et s’ils étaient tous morts ? Avant que sa vie ne fut brisée, tant avaient déjà succombé, à la maladie, à l’épuisement, aux hérétiques…. Et si le plus cher d’entre tous n’avait pas survécu?
Comme un coup de poignard, cette pensée l’électrisa d’un puissant courant énergétique. Réveille-toi malheureuse, réveille-toi !

NON!!!! MAKCIMUUUUUUUUUUUS!!!!

La jeune femme s'agitait vraiment beaucoup dans son sommeil. Marianne essayait de la calmer en lui parlant avec douceur.

- Ne craignez rien dame icelieu personne ne vous fera du mal. Vous estes en sécurité avec nous.

Elle lui épongeait le front puis continuant à se demander pourquoi son frère de sang ne disait point un mot et qu'il continuait à la regarde comme s'il voyait un fantôme...

En pensant à cela soudain ne sachant point trop pour quelle raison son esprit pensa à une de leur sœur disparue il y avait de cela bien longtemps et qui était très proche de Mac justement...

Se pourrait-il que ce soit elle. Lorsqu'elle se mit à crier le nom du Hochmeister elle se mit à y réfléchir encore plus sérieusement...

- Calmez-vous Dame tout va bien...

Elle faisait son possible pour qu'elle se calme en espérant que son frère de sang l'aiderait ou encore que Hellvyra revienne au plus tôt.

Hellvyra arriva à l'hersboristerie avec les soupes pour Mammylou et elle, accompagnée par deux Membres de l'Ordre. Elle détenait une missive qu'elle avait préalablement lue.

_Voici ma soeur, une bonne soupe bien chaude aux légumes. Je ne peux malheureusement pas rester car je suis convoquée dans la crypte. J'avoue que cette missive m'intrigue, mais j'obéis à notre Grand Hochmeister.
Aussi je te donne le controle de notre Herboristerie. Tu as su prouver bien avant mon arrivée tes dons de soignante. J'ai confiance en toi ma Soeur.

Hellvyra prit quand meme une miche de pain qu'elle mangea avant son entrée dans la crypte.

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Marianne avait pris la relevé après que son amie Hellvyra lui avait dit devoir se rendre à la crypte après avoir reçu un message du Hochemeister qui avait quitté l’herboristerie quelques temps après avoir vue la jeune femme qui s’y trouvait, comme celle-ci n’avait point encore repris conscience.

- Je resterai à son chevet aussi longtemps que son était le nécessitera, part en toute quiétude mon amie. Je veillerai bien sur elle.

Puis elle repris son travail en prenant bien soin de surveiller tout changements dans l’état de sante de la jeune femme.

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