A nouveau, il revient dans la commanderie générale de l'ordre Teutonique, celle de Thorens. Il est accompagné de quelques soldats, une douzaine vétu d'un harnois blanc, portant pour la grande majorité d'entre-eux une hallebarde et les autres, une arbalète. Ces hommes avaient combattus les ennemis de l'Humanité, les hérétiques pillards provenant de Geneve dans une armée de coalition royale sous le commandement des généraux nommés par le Roi.
Le Roi est armé jusqu'à ce qu'il arrive devant la commanderie. Sa propre armure est retirée, les soldats reprennent doucement le fourreau contenant l'épée fédérale, elle n'a pas de nom encore. Une épée forgée par un forgeron comtois, lorrain et savoyard. Il porte un vêtement immaculé, blanc, d'une soierie luxueuse certe, mais simple et sans décoration.
Il s'approche de la garde.
Pax Vobiscum,
Je suis Sa Majesté Royale, le Roi Hadrien Marcus 1er de Sparte. Je suis invité pour participer à l'adoubement de nouveaux chevaliers teutoniques. Pouvez-vous aller faire venir le responsable diplomatique de l'Ordre et de l'Hochmeister ?